Investir les réseaux sociaux pour le pro : bientôt 2 ans !
Avec un minimum de recul (bientôt deux ans), je peux constater de là où je suis à la CCI trois développements pratiques quand il s'agit de coordonner les efforts d'une institution sur les réseaux sociaux :
1.- investir ces nouveaux canaux de communication réinterroge les habitudes de travail. C'est donc une excellente opportunité pour les organisations de réfléchir aux manières que peuvent prendre la construction des liens qu'elles tissent avec leurs cibles.
2.- ne pas "être chez soi" sur les réseaux sociaux et la recherche de résultats exigent d'apprendre vite et bien les usages d'un réseau social émergeant (et donc d'avoir un budget pour ça)
3.- la bonne nouvelle dans tout ça, c'est que nous avons à faire à des espaces qui combinent avec bonheur :
- contribution effective à la réalisation des objectifs que l'on se donne (les chiffres le prouvent)
- enthousiasme des cibles à participer à l'élaboration des initiatives (il n'y a qu'à voir la tête de celles et ceux qui vous sont fidèles quand on a la chance de les rencontrer "en vrai")
- et rayonnement de ces dernières au delà des frontières de son domaine d'intervention habituel (une fois encore, les statistiques ne mentent pas)
ça marche, alors un conseil : portez-y intérêt !
Sans oublier (même si c'est sans doute sous-entendu) l'appropriation des outils par l'ensemble des collaborateurs > le passage de l'inquiétude liée à la méconnaissance à l'utilisation transparente et quotidienne.
RépondreSupprimerBien que plus compliqué du fait de leur multiplication, les réseaux sociaux sont soumis à la même problématique aujourd'hui que le mail il y a 10-15 ans. Comment se passer du mail en entreprise aujourd'hui ?
L'usage est sensiblement le même (communiquer) mais le mail présente aujourd'hui certaines limites engendrées par l'émergence des RS : géolocalisation, liste d'amis et réseau, hashtag, discussions ouvertes, et bien d'autres...
Bonjour Admin,
RépondreSupprimerLa maladie des mails : ça ferait aussi un bon sujet de billet.
Ce que j'en retiens, c'est le manque de connaissance sur le "qui fait quoi" et sur l'état d'avancement des projets de chacun !